Je viens de quitter les Patrouilleurs…. je reviendrais surement parmis eux. Cepandant, j’ai toujours cette douleur terrible en moi, les lapins démons que je tue en ce moment à tour de bras doivent le sentir, cela malgré ma joie d’avoir été à la découverte du Thyl avec Khaena et d’avoir passé un long moment avec elle. Bref, j’écris dans ce maudit journal mes derniers mots… Je pense ne plus pouvoir écrire aprés ce que je viens de vivre. Mais avant, alors que je pense encore que c’est fini pour moi, je veux parler d’amour bien sur, j’ai fait une rencontre inattendue alors que je me reposais entre deux entrainements à coté d’une touffe d’absinthes.
Une Sinane se tenait à côté de moi en train de cueillir des feuilles d’absinthe alors que je l’avais même pas remarqué…. J’ai pretté attention seulement aprés l’avoir vu subir un dégat de mère nature qui n’est pas toujours, je dois dire, trés sympathique avec nous.
Voyant qu’elle souffrait quelque peu, je lui dis que je m’avais malheureusement pas d’essences magiques sur moi pour la soigner mais que j’avais des potions de régénération dans mon sac. Un peu soupçonneuse, je lui dis de ne pas s’inquiéter car j’étais apothicaire de mon état. Cela l’a je dois dire rassuré un peu et elle a bu la potion d’un trait. Nous avons engagé ensuite la conversation en lui disant que j’etais un Patrouilleur, enfin…. que je l’avais été! poue être précis, que je venais de quitter ma gilde pour un moment. Elle m’a bien sur demandé pourquoi, j’ai répondu vaguement je dois dire en parlant de mon coeur meurtrit. Je ne raconterais pas tout ici car la suite n’est que banalité, mais il est étrange qu’ayant tant de peine et dans ces circonstances pareil je rencontre comme cela une jeune femme dans les absinthes. Aprés coup, en entrainement cela m’a fait sourire un peu je l’avoue… je l’ai revu par la suite.
Ah oui ! je lui ai dis mon nom car elle me l’a demandé mais je n’ai pas osé lui demander le sien, mais j’ai fait des recherches et je connais à present son nom : Esmeane
Voila, ici s’acheve mon journal… sauf si…