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Tendre pâle

Jour 27 Félinien – Fingélien 379

Voilà plusieurs jours que je n’écris pas dans ce journal. Je dois dire que mon esprit est ailleurs… J’ai fait la connaissance d’un drôle de pâle. Un Haut-Elfe du nom de Toucan. Je l’avais abordé car j’avais vu son écusson des Patrouilleurs. Je lui ai demandé des conseils pour la missive de candidature pour sa gilde. Il a été très attentionné et très gentil.
Je l’ai revu le lendemain. Il semblait troublé par ma présence et je dois dire que son trouble avait tendance à me gagner également. Une étrange attirance nous liait. Nous avons travaillé côte à côte en bavardant. Je croisais souvent son regard qui semblait me dévisageait étrangement puis il évitait mon regard en tripotant ses bottes. Parfois, il prononçait des sortes de grommellements incompréhensibles comme si il cherchait à me dire quelque chose mais qu’il n’y arrivait pas. Il m’a montré comment fabriquer un beau bonnet rouge et blanc. J’en ai fabriqué un et je l’ai enfilé en riant.

Il m’a alors proposé une petite promenade. J’ai accepté avec joie. Il m’a conduit dans les jardins privés du château de Fingel. Je ne connaissais pas du tout cet endroit. C’est un très bel endroit au bord de l’eau : le clair de lune, le phare, la petite marre où on peut se baigner…
J’ai passé un merveilleux moment en sa compagnie. Et je me suis endormie sous les parasols de la plage à ses côtés.

Je ne sais plus…

Jour 2 du Mundia – Fingélien 379

Voilà quelques jours que j’évite Toucan… Ghaara, même si il est revenu, m’a à peine adressé la parole… Je crois qu’il m’en veut d’être tombé dans les bras d’un Don juan comme Toucan…
J’ai peur de perdre son amitié… juste parce que j’avais besoin de combler la solitude dans laquelle il m’avait laissée…

J’erre sans but… je ne sais plus ce que je dois faire ou dire…

Rupture

Jour 4 du Mundia – Fingélien 379

J’ai lu dans nos parchemins de justice que Toucan serait jugé prochainement pour ses actes contre mon peuple. Je ne sais pas vraiment de quoi il s’agit… Mais avec le refus de Ghaara de me parler… ma relation avec Toucan devient trop compliquée à gérer…
Je lui ai donc envoyé une lettre de rupture… enfin… si on peut parler de rupture pour une liaison qui meurt avant même d’être réellement née…

Je ne sais comment il réagira… mais je crois que je peux abandonner l’idée d’envoyer ma candidature aux patrouilleurs…

Quand à Ghaara… je ne sais même pas si il voudra encore être mon ami… *quelques larmes tachent le parchemin*

Si je pouvais m’arracher moi même le cÅ“ur et l’offrir à notre Déesse araignée Lith, je le ferais, afin que la douleur s’arrête et que les landes deviennent enfin mon tombeau.

La gilde des Patrouilleurs

Voilà plusieurs mois que je n’ai pas écris dans ce journal…

Après le départ de Ghaara un grand sentiment de vide m’a envahi… je ne savais plus si je devais rester ou partir…
Heureusement, Toucan était là. Malgré la lettre de rupture que je lui avais envoyé, il est resté à mes côtés. Toujours joyeux, toujours près à me faire sourire avec des blagues parfois stupides, il m’a donné envie de rester…
Il m’a poussée à écrire ma lettre de candidature aux Patrouilleurs et m’a même aidé à la faire en me conseillant sur certains points. Je l’ai envoyée sans trop y croire.
Finalement, à force de côtoyer Toucan, j’ai fini par ne plus pouvoir me passer de lui et je suis retombée entre ses bras. Ça me fait beaucoup de bien d’avoir quelqu’un près de moi, toujours près à m’écouter et à me faire sourire. J’en avais besoin après toutes ces périodes sombres que j’avais vécues.

Il y a quelques jours, Kido la commandante en second des Patrouilleurs, recruteuse et aussi soeur de Toucan, m’a contactée pour passé l’entretien qui doit décider ou non de mon admission dans la Gilde.
Je suis entrée dans une salle avec une table ronde, les patrouilleurs étaient là en uniforme me jaugeant du regard. Je dois dire que je n’en menais pas large mais j’ai essayé de faire bonne figure. Ils m’ont posé beaucoup de questions… j’ai du dire qui était mon Maître d’armes au sein des Elfes noirs : Wandrall. A l’évocation de ce nom, la tension dans la pièce est montée d’un cran… La bleue Naedrah a semblé particulièrement choquée. Je dois dire qu’à ce moment, je me suis dit que je ne ferais jamais parti de la Gilde mais j’ai continué à répondre aux questions. Puis ils m’ont laissée sortir pour pouvoir délibérer. La délibération a duré des heures… je me suis finalement endormie sans avoir de réponse.
Le lendemain Kido m’a recontactée, les patrouilleurs ont souhaité m’entendre à nouveau. Ils m’ont alors mis face à un drôle de choix. Si je voulais rejoindre les Patrouilleurs, je devais quitter mon Maître d’armes Wandrall… J’ai été particulièrement anéantie par cette demande… Même si je n’avais pas choisi mon Maître d’armes, j’appréciais son enseignement. Et Wandrall était devenu un officiel du peuple. Le quitter, signifiait me couper de mon peuple. J’ai demandé à me retirer pour réfléchir, le commandant m’a retenue pour poser encore quelques questions, dont je ne me souviens même plus tellement, j’étais atterrée.
Puis ils m’ont laissée partir…

Je savais déjà que jamais je ne quitterai mon Maître d’armes, et je me disais que les Patrouilleurs n’avaient pas le droit de me demander une telle chose pour rejoindre leur rang. Je voulais partir m’endormir mais Toucan m’a retenue me demandant d’attendre la décision des Patrouilleurs. Je n’en avais plus envie à vrai dire… mais je suis restée pour lui.

Finalement, le commandant Karadak m’a contactée pour m’annoncer que j’avais été acceptée au sein de la Gilde. Je dois dire que je ne savais plus si je devais être heureuse ou non. J’ai même demandé si la condition de mon intégration signifiait que je devais quitter mon Maître d’armes. KaradaK m’a rassurée en me disant que çà ne pouvait être que quelque chose que je devais régler avec ma conscience.

J’ai rejoint ainsi les rangs des Patrouilleurs. Et je dois dire que je ne le regrette pas! J’y ai découvert la fraternité et l’humour, chose que je ne connaissais pas au sein de mon peuple.

J’ai l’impression qu’une nouvelle vie commence pour moi!

Premiers écrits

Bien que j’ai déjà écris plusieurs fois dans les salles reservées à cet effet sur ces ilôts, c’est la premiere fois que j’écris dans un vrai journal. Je n’écrirai pas ici tout ce que j’ai déjà raconté sur les parchemins que j’ai pu laisser mais je ferai un rapide résumé de ma vie.

Par où commencer… Mon arrivée sur ces terres bien sûr !

 Bon… Lorsque je suis arrivé par ce fameux bateau dans lequel j’ai du m’endormir je ne sais comment, je me suis demandé où j’avais atterri. Vous me direz que cela ne change pas grand chose j’avais perdu totalement la mémoire… Dire qu’une nouvelle vie s’ouvrait devant était à vrai dire faux, je dirais qu’une « vie » commençait pour moi et quelle vie…

Commencer une vie sur ces terres je dois dire que ce n’est pas simple et même plutôt difficile mais je pense que cela en va de même pour tout aventurier arrivé ici. La différence si je puis dire, c’est que chez moi tout était « vierge », aucun souvenir auquel me raccrocher dans les moments difficiles… Bref, je me suis demandé si j’allais tenir… la suite me prouva que oui puisque j’écris en ce moment même.

De toutes façons, il me serait difficile de quitter ces terres maintenant malgré le fait qu’elles soient relativement hostiles, j’y ai déjà vécu tellement d’aventures qu’il me targue de conter ici que… Mais n’allons pas trop vite, je débute à peine ce journal et j’ai beaucoup de choses à dire…

Invasion de la vallée d’Illumen

Jour 1 d’illutavar – Fingélien 380
Un squelette géant accompagné de sa horde de squelettes et fantômes en tous genres se déplaçait de ruines en cimetières dans toutes les régions de Séridia. Je me suis donc rendu dans la vallée d’Illumen, où en plus des squelettes, des cyclopes et des gobelines sachant se soigner menaçaient les natifs. Le port était envahi. Il était impossible de rejoindre le dépôt de Molgor. Des aventuriers étaient déjà présents tentants de ne pas se laisser submerger par le nombre.
J’ai combattu au côté d’un nain de la gilde des ANGE nommé Algrim, très sympathique. Je lui aurais semble-t-il sauvé la vie. Pendant ce temps, Toucan, coincé du coté de la bannière de Nord Thyl combattait aux côtés de ma Soeur Rhiordan contre des cyclopes qui ont eu finalement raison de lui et d’elle. J’ai pu récupérer les effets de ma Soeur mais pas ceux de Toucan.
J’ai ensuite rejoint mes compagnons Patrouilleurs, Tolned et Bouh, pour éliminer les derniers cyclopes près de la banniÃenturiers ont donc finis par éliminer toutes les créatures mais des questions sont restées en suspend : d’où vient ce squelette géant et que recherche-t-il?

Aide aux natifs

Je me sentais un peu honteuse d’avoir passé une si belle soirée avec Kely alors que la guerre faisait rage en Séridia, aussi quand le Connétable Kargorm a demandé aux patrouilleurs de se rassembler à Trépont, je m’y suis rendue. J’ai découvert une Séridia dévastée envahie par les squelettes, tous les natifs étaient partis se réfugier sur Trépont, ajoutant un peu plus à ma honte.
Kargorm nous a annoncé que nous devions nous rendre au magasin de Starenlith pour rapporter du matériel médical à Mira. Les patrouilleurs se sont mis en marche et ont rejoint sans encombre le magasin. Le gérant, Janes, a eu un peu peur au début en voyant arriver tous ces aventuriers armés jusqu’au dent, entrer brutalement dans sa boutique. Le Connétable l’a rassuré en lui montrant son écusson de Patrouilleurs. Janes nous a alors donné 5 caisses de matériel à ramener. Il fallait donc 5 porteurs de caisses et les autres devaient ouvrir la voie. Connaissant mes faibles compétences au combat comparé aux autres Patrouilleurs, j’ai proposé de porter une caisse. Les combattants sont passés devant les porteurs et ont commencé à éliminer les squelettes qui envahissaient le port de Pierre Blanche. Toucan faisait lui aussi partit des porteurs avec Kido, Karadak et l’Ilharess Kharya. J’ai eu beaucoup de mal à traverser, les combattants étaient partis trop en avant, les troupes de squelettes s’agglutinaient devant moi sans plus personne pour m’ouvrir la voie. Finalement, le Kazrik nain et porte drapeaux des patrouilleurs, Tolned est arrivé. Il a rapidement dégagé la route devant moi et j’ai pu arriver à Trépont sans trop de dégats… Quand à Toucan, je crois que sa caisse s’est brisée… Malgrès tout Mira était heureuse de tout le matériel que nous avions pu ramené.

Un autre natif s’est alors approché de nous : Gorham. Je n’avais qu’une confiance très limitée envers cet individu très peu aimable qui vivait en ermite dans les ruines d’Eldorion et passait son temps à rechercher des trésors. Il a demandé à ce que nous allions chercher une arme « souple » qu’il avait caché au pied d’un arbre devant le Kasteel d’Altania. Après bien des recherches infructueuses, c’est finalement le Maître d’armes des Patrouilleurs Aura qui a trouvé l’arme. Il s’agissait d’un fouet. Nous avons gardé cette information secrète au sein de la gilde en rejoignant Trépont. Finalement, nous avons tenté de demander des comptes à Gorham, au sujet de cette arme. Qu’avait elle bien de « magique » ? Pourquoi était elle si importante pour lui?
Finalement, on a appris par la suite qu’il s’agissait d’un souvenir familial qui lui avait sauvé la vie autrefois et qui n’avait en fait aucune propriété magique. Nos soupçons étaient donc mal placés…

Et pendant tout ce temps, alors que j’exécutais les ordres du Connétable en silence, je ne cessais de penser à Kely… son absence m’était douloureuse…

Rupture avec Toucan

Jour 23 Nuona – Fingelien 380
J’ai retrouvé Toucan à Zork’len, son lieu d’entrainement… il fallait que je lui donne ma décision… J’étais tombée amoureuse de Kely… Je devais donc le quitter… j’avais beau essayer d’y mettre des formes, on peut difficilement dire à quelqu’un qu’on ne l’aime plus sans lui faire de mal… Toucan a essayé de faire bonne figure mais j’ai bien vu à quel point il souffrait. Il est alors parti très vite en me disant adieu.
J’ai quitté Zork’len attérée… J’étais tellement dans le brouillard que je n’ai même pas réagi quand je suis tombée nez à nez sur une horreur squelettique qui m’a envoyée en Achéron en quelques coups. J’avais oublié que Séridia était encore en pleine guerre, envahie par les morts-vivants…
J’ai donc fui Séridia pour me terrer en Irilion… Je ne voulais voir personne. Les bras de Kely me manquaient.

Alors que je cherchais le sommeil en me tournant et me retournant sans cesse, un nain avec un énorme accent m’a contactée par télépathie. Il m’a dit qu’il avait quelques chose pour moi… Un peu surprise et curieuse, je me suis rendue au passage de Fénégor pour savoir ce qu’il me voulait. Il a dit s’appeler Grhump, il avait été chargé par Kely de me transmettre un message : Kely m’aimait. Mon coeur si durement touchée par cette journée pénible retrouvait enfin un peu de chaleur. J’ai souri pour la première fois de la journée. Grhump m’a ensuite donnée 1000 fioles vides, un cadeau de Kely. Il a dit savoir que j’hésitais entre 2 métiers : artisan et apothicaire. J’ai acquiescé, j’en avait effectivement parlé à Kely. Grhump était un Maître apothicaire et m’a dit qu’il ne fallait pas que j’hésite à lui poser des questions. Je n’en avais pas sur le moment mais je lui ai dit que je n’hésiterais pas si il m’en venait à l’esprit.
J’ai ensuite quitté le nain et je me suis endormie un peu apaisée en pensant que même loin de moi, Kely pensait à moi.

Expédition à Saonar Kraw

Jour 26 Nuona – Fingelien 380
Alors que je m’épuisais dans une récolte de charbon, tentant ainsi d’oublier les derniers évènements douloureux, Toucan m’a contactée… Il m’a parlé de son désir de quitter pendant quelques temps la gilde des Patrouilleurs… Il avait besoin de prendre du recul. J’ai tenté de l’en dissuader mais sa décision était déjà prise. Toutefois, il souhaitait, avant de partir, faire une dernière expédition en ma compagnie. J’ai accepté, me sentant trop coupable pour lui refuser.

Il voulait me montrer où trouver le Thyl de Saonar Kraw. L’expédition était longue et difficile. Nous traversions des zones de non droit heureusement désertes, nous nous perdions dans des labyrinthes… Je me suis même demandée au bout d’un moment, si Toucan ne nous perdait pas volontairement pour rester plus longtemps à mes côtés…

Soudain, dans une grotte retirée, nous avons croisé un Yéti. C’était la première fois que je voyais une créature de ce type… Étrange bête, d’aspect humanoïde à fourrure blanche et portant des cornes sur la tête… Je me suis empressée d’en faire un croquis rapide.

Plus loin, nous sommes arrivés dans une zone remplie de lave dans laquelle d’étranges ruines étaient plongées.

Au bout de ces ruines, il fallait emprunter une espèce de pont invisible… Nous avons très difficilement passé cet obstacle, chaque fois que nous manquions le pont, une force invisible nous ramenait à l’entrée des ruines… J’étais sur le point d’abandonner, quand tout d’un coup, j’ai passé l’obstacle.

Un nouveau passage secret a du être emprunté et enfin, le Thyl était là… Drôle de minerai, extrêmement rare, permettant de faire les armes et les armures, les plus puissantes des îlots, il ne ressemblait à rien… la pierre était plutôt laide… Mais nous y étions arrivé!
J’étais heureuse d’avoir partagé cette aventure avec Toucan. Je l’ai tendrement embrassé sur la joue en le remerciant. Nous nous sommes ensuite quittés bons amis même si je savais que Toucan ressentait toujours beaucoup plus que de l’amitié pour moi.

Entretien avec Karadak

Jour 30 Nuona – Fingelien 380
Toucan comme il me l’avait annoncé a quitté les Patrouilleurs pour quelques temps… Il m’a avoué peu après avoir dit au commandat et à sa soeur que je l’avais quitté pour rejoindre Kely…
J’ai eu peur que Kely soit inquiété et soit puni pour avoir « pris la femme » d’un autre patrouilleur. J’ai donc demandé audience au Commandant Karadak, afin de clarifier les choses.
Le commandant m’a reçu à Kial Kraw, une région dangereuse… Il était en train de s’y entrainer contre des chimériens du désert. Quand je l’ai rejoint, nous nous sommes assis près de l’eau de l’oasis sous l’ombre des palmiers. J’ai donc tenté de lui expliquer ce qu’il s’était passé entre Toucan, Kely et moi : mon éloignement de Toucan avant même que Kely et moi devenions plus proches, la jalousie de Toucan qui n’avait fait qu’empirer les choses entre nous et me reprocher de Kely…
Karadak m’a écouté, il a finalement haussé les épaules en disant que nos histoires d’elfes lui passaient au dessus de la tête. Tout ce qu’il voulait, c’était que çà ne provoque pas de guerres entre nous et que la morale des Patrouilleurs soit sauve. Je l’ai rassuré en lui disant que j’entretenais toujours des relations amicales avec Toucan. Pour la morale, je lui ai dit que la seule responsable dans l’histoire c’était moi et que si il devait y avoir sanction, j’étais prête à l’assumer!
Il a nouveau haussé les épaules et m’a dit qu’il ne voyait pas pourquoi il devait y avoir des sanctions. Il ne s’agissait que d’une histoire entre nous 3.

Rassurée, je l’ai remercié pour son écoute et je m’apprêtais à partir quand il m’a retenue un instant pour me demander si je connaissais des femelles elfes noires qui pourraient entrer dans la patrouille. A part ma soeur Rhiordan, je ne voyais pas quelle femelle pouvait avoir un caractère assez souple pour intégrer notre gilde. Karadak m’a alors parlé de la Jaliless Fharath et m’a demandé mon avis sur elle. Je lui ai donc dit ce que je savais : grande combattante et nécromancienne au caractère dur et bien trempé. Je lui ai aussi indiqué qu’elle avait eu une altercation violente avec le Valuk MageInvok et que depuis elle était devenue très silencieuse sur nos ondes… Il m’a remercié pour mon avis et m’a indiqué qu’il parlerait d’elle au prochain conseil pour décider si nous la contacterions ou non.
Je l’ai alors quitté pour retourner à mon entrainement.

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