Jour 5 Elouenien – Fingelien 381
Nous nous sommes réveillées ensembles ce jour là avec ma belle. Nous étions à Nargraw sud dans une maison galdur dormant à même le sol sur une peau de panda qu’avait chassé ma belle la veille. J’ai proposé de lui préparer son petit-déjeuner. Elle a sourit disant qu’elle allait s’habituer à cette petite attention du matin. J’ai ri en répondant que c’était tant mieux parce qu’ainsi elle ne songerait pas à me quitter.
Nous avons un peu jouer avec les fruits que j’avais coupé pour elle : nous donnant la becquée mutuellement. Le jeu est devenu plus sensuel. Ma belle devenait féline. J’ai commencé à l’appeler ma panthère noire. J’ai fini notre jeu entre ses bras, tremblante du plaisir qu’elle m’avait offert.

Nous avons dû ensuite aller travailler. Enfin, Kharya le voulait moi je ne faisais que suivre. Je n’ai jamais aimé travailler à part quand il s’agit de s’entrainer au combat. Mais là, je l’ai suivi et je lui ai même proposé de l’aider. Elle travaillait pour le peuple. Elle m’a demandé de réaliser 500 lingots d’argent. Je me suis exécutée docilement. Un aventurier est apparu, j’ai cru que ma belle l’avait soignée et je ralais contre lui après son départ trouvant qu’il aurait pu la remercier. Elle m’a répondue qu’elle n’avait pas pour habitude de soigner n’importe quel éclopé comme la bleue muette.
Ca m’a donné l’occasion de lui parler de la douce que j’avais tenté de séduire. Je dois dire que çà m’amusait de titiller la jalousie de ma panthère. Je lui ai dit que je l’aimais bien et qu’elle avait été la seule à me comprendre vraiment avant son arrivée dans ma vie. Je l’ai vu faire la moue et elle a demandé si j’avais réussi à la séduire. J’ai répondu que malheureusement la douce n’aimait pas les femelles mais que ce n’était pas çà qui allait m’arrêter. Je l’ai vu bondir tombant à pieds joints dans le piège que je lui avais tendu. Elle m’a demandé si j’avais encore l’intention de tenter de la séduire. J’ai fait un petit sourire en coin : serait elle jalouse? Oui elle l’était. Elle avouait être d’une jalousie maladive. Elle se rendait compte que c’était sans doute très égoïste de sa part de multiplier les amants et de ne pas supporter qu’ils aillent voir ailleurs. Mais elle ne pouvait s’en empêcher.

J’ai rassuré ma belle panthère en lui disant que je ne tenterai plus de séduire la douce même si elle avait bon goût! Ma belle s’est mise à grommeler sur la dernière petite pique que je m’étais amusée à lui lancer. Puis je l’ai rassurée. Lui disant que désormais je préférais le goût épicé de la peau de ma panthère et que j’avais beaucoup de mal à m’en passer.

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